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- Do suspended particles matter for wastewater-based epidemiology?
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- Gauthier Bernier-Turpin, Régis Moilleron, Chloé Cenik, Fabrice Alliot, Sabrina Guérin-Rechdaoui, Thomas Thiebault
- article
- , In press, 280, pp.123543. ⟨10.1016/j.watres.2025.123543⟩
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- Plastic debris dataset on the Seine riverbanks: up to 38 000 pre-production plastic pellets reported per square meter
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- Romain Tramoy, Laurent Colasse, Johnny Gasperi, Bruno Tassin
- article
- , 2025, pp.111735. ⟨10.1016/j.dib.2025.111735⟩
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- La persistance des champs d’épandage d’eaux usées de l’agglomération parisienne au cours du second XXe siècle
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- Etienne Dufour
- article
- , 2025, ⟨10.56698/metropolitiques.2174⟩
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- Stock and vertical distribution of microplastics and tire and road wear particles into the soils of a high-traffic roadside biofiltration swale
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- Max Beaurepaire, Tiago de Oliveira, Johnny Gasperi, Romain Tramoy, Mohamed Saad, Bruno Tassin, Rachid Dris
- article
- , 2025, 373, pp.126092. ⟨10.1016/j.envpol.2025.126092⟩
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- Assessing water quality restoration measures in Lake Pampulha (Brazil) through remote sensing imagery
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- Alexandre Assunção, Talita Silva, Lino de Carvalho, Brigitte Vinçon-Leite
- article
- , 2025, ⟨10.1007/s11356-025-35914-6⟩
L’invasion invisible des microplastiques dans l’Express du 28 mars 2019
publié le , mis à jour le

Participation de Johnny Gasperi à un article du 28 mars 2019 de l’Express : "l’invasion invisible des microplastiques"
Avec le temps, les déchets plastique et les textiles synthétiques se fragmentent en microparticules légères et persistantes. Leur dispersion pollue l’eau, l’air, et contamine les êtres vivants, dont l’homme.
Le plastique n’est plus fantastique. Léger, résistant et surtout peu coûteux, il a longtemps été paré de toutes les qualités au point d’inonder notre quotidien, depuis soixante ans, sous forme de bouteilles, d’emballages, de textiles ou de peintures. Sauf qu’il a, aussi, un énorme défaut : une fois abandonné, il met des siècles à se décomposer dans les environnements qu’il pollue. Depuis peu, l’opinion publique en prend conscience, choquée par les images de plus en plus fréquentes d’animaux marins piégés par du plastique.
Et pourtant, il ne s’agit que de la partie la plus visible de ce fléau, car ces déchets se fragmentent ensuite en microplastiques, des milliers de minuscules débris durables qui ont, à leur tour, envahi notre vie. Ils sont partout, dans l’air, l’eau du robinet, les terres cultivées ou la nourriture, comme le constatent, impuissants, les chercheurs qui explorent les conséquences de ces polluants invisibles.