Laboratoire Eau Environnement et Systèmes Urbains (Leesu)

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936.
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Position paper: Common mistakes and solutions for a better use of correlation- and regression-based approaches in environmental sciences
auteur
Damien Tedoldi, Boram Kim, Santiago Sandoval, Nicolas Forquet, Bruno Tassin
article
, 2025, 192, pp.106526. ⟨10.1016/j.envsoft.2025.106526⟩
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Do suspended particles matter for wastewater-based epidemiology?
auteur
Gauthier Bernier-Turpin, Régis Moilleron, Chloé Cenik, Fabrice Alliot, Sabrina Guérin-Rechdaoui, Thomas Thiebault
article
, In press, 280, pp.123543. ⟨10.1016/j.watres.2025.123543⟩
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The effect of the mineral matrix during thermal analysis of polymers:Implications for microplastics characterization
auteur
Clémentine Ricard, François Baudin, Maria-Fernanda Romero-Sarmiento, Nicolas Bouton, Yoann Copard, Lucas Friceau, Victor Lieunard, Wolfgang Ludwig, Sébastien Rohais
article
, 2025, pp.107219. ⟨10.1016/j.jaap.2025.107219⟩
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Plastic debris dataset on the Seine riverbanks: up to 38 000 pre-production plastic pellets reported per square meter
auteur
Romain Tramoy, Laurent Colasse, Johnny Gasperi, Bruno Tassin
article
, 2025, pp.111735. ⟨10.1016/j.dib.2025.111735⟩
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La persistance des champs d’épandage d’eaux usées de l’agglomération parisienne au cours du second XXe siècle
auteur
Etienne Dufour
article
, 2025, ⟨10.56698/metropolitiques.2174⟩

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L’invasion invisible des microplastiques dans l’Express du 28 mars 2019

par Daniel Thevenot - publié le , mis à jour le

Participation de Johnny Gasperi à un article du 28 mars 2019 de l’Express : "l’invasion invisible des microplastiques"

Avec le temps, les déchets plastique et les textiles synthétiques se fragmentent en microparticules légères et persistantes. Leur dispersion pollue l’eau, l’air, et contamine les êtres vivants, dont l’homme.

Par Christophe Josset

Le plastique n’est plus fantastique. Léger, résistant et surtout peu coûteux, il a longtemps été paré de toutes les qualités au point d’inonder notre quotidien, depuis soixante ans, sous forme de bouteilles, d’emballages, de textiles ou de peintures. Sauf qu’il a, aussi, un énorme défaut : une fois abandonné, il met des siècles à se décomposer dans les environnements qu’il pollue. Depuis peu, l’opinion publique en prend conscience, choquée par les images de plus en plus fréquentes d’animaux marins piégés par du plastique.

Et pourtant, il ne s’agit que de la partie la plus visible de ce fléau, car ces déchets se fragmentent ensuite en microplastiques, des milliers de minuscules débris durables qui ont, à leur tour, envahi notre vie. Ils sont partout, dans l’air, l’eau du robinet, les terres cultivées ou la nourriture, comme le constatent, impuissants, les chercheurs qui explorent les conséquences de ces polluants invisibles.

Article de l’Express du 28 mars 2019